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COMME UNE LETTRE A ELISE

Une belle aux
aurores de pitance
esquisse le geste
de sentence dénudée
aux élégies
d’ivresse
Une brume matinale
enfourche une
canne prise à un
piège nourri au jus
de pampre
La nuit ébranlée par
l’ivresse étoilée ne
rêve plus que d’une
cime défaite
A toutes les soeurs
du monde qui
souffrent le martyre
de la fraîcheur
déchue, la lune
chante l’aube d’une
existence sélénite
de misère animale

Kock Obhusu

Parade obscène par Kock Obhusu

Sur les débords de la scène Dans la profondeur d’un silence blafard On les entend rire aux éclats comme des Read more

Eburnie ne danse plus

Je refuse votre résignation moribonde Elle pue la sueur froide Sortie de vos entrailles trouillardes Vous exaltez aux grelots collabos Read more

UN JOUR, IL FERA JOUR
jour

Terre cannibalisée Glèbe blessée Patrimère lacérée au compas scélérat Voilà ce qu’est mon Nimba devenu Et le krou s’écroule sous Read more

COMME UN SOUFFLE DE DESESPOIR

Le poème apprivoisé perdit Liberté et Souffle Et le verbe se fit alors vélaire Quand la lettre de voyelles que Read more

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