Le poème apprivoisé perdit Liberté et Souffle
Et le verbe se fit alors vélaire
Quand la lettre de voyelles que nous portâmes
à la providence fut sans aile et sans feu
Mais à l’ombre de l’arbre tutélaire nous semâmes
Contre les vents l’alliance séculaire
De ceux qui ne purent s’abreuver de l’avarie laiteuse des marrées
Nous donnâmes alors promesse à l’onde honteuse
Et fîmes assignation au Caïcédra
Avant de faire nos adieux aux fracas d’un horizon incertain
Comme nos valises ne cédèrent point aux turbulences du douteux crépuscule
Nous continuâmes le chemin maillé d’espérances balbutiantes
Chantant en chœur sans promettre à l’humanité
Les chants d’une terre désespérante
Kock Obushu
Sur les débords de la scène Dans la profondeur d’un silence blafard On les entend rire aux éclats comme des Read more
Je refuse votre résignation moribonde Elle pue la sueur froide Sortie de vos entrailles trouillardes Vous exaltez aux grelots collabos Read more
Terre cannibalisée Glèbe blessée Patrimère lacérée au compas scélérat Voilà ce qu’est mon Nimba devenu Et le krou s’écroule sous Read more
Belle Brûlante Chaude Ensorcelante Eburnie Sous le sceau du secret inavouable Je te baiserai Jazz ! Jazz ! Jazz ! Read more