ux dernières nouvelles, les « assaillants » que l’état-major affirmait avoir pulvérisés, progresseraient vers Jacqueville, une localité semi-enclavée par la lagune et l’océan atlantique située au sud de Dabou. Des témoins signalent aussi des mouvements de la force française Licorne, sensés boucler les accès à Abidjan, à partir de la zone des combats. Par ailleurs, un officier en service au commissariat de Dabou, du nom de Tra-Bi et plusieurs miliciens « assaillants » seraient aux arrêts. Certaines sources militaires soutiennent que les assaillants seraient plus d’un millier, composés de militaires, d’ex combattants et d’ex detenus.
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